Mirianna Sinnindae

Identité
:

Prénom(a) & Nom :Mirianna Elizabeth Sinnindae Stratford
Date de naissance et Âge: 10 septembre 1898, morte le 23 octobre 1915
Âge : 124 ans
Sexe : Féminin
Race et groupe : Vampire

Physique : Mirianna est une brunette aux cheveux qui lui tombe
jusqu’aux fesses. Ils son généralement attachés en tresse haute. Elle a une
frange qui met en valeur son visage. Ses yeux sont verts et Mirianna a de longs
cils qui avantagent son regard froid qui peut pourtant s’enflammer d’une
passion brûlante. La vampire a un teint pâle rehaussé par ses lèvres roses
pâles. Contrairement aux vampires normaux Mirianna n’a qu’une canine. Elle s’en
est arrachée une lors d’une crise d’hystérie. Elle est de taille moyenne (5’3)
et est plutôt mince.

Caractère : Mirianna a une double face. Redoutable prédateur,
quand elle chasse pour se nourrir, elle est froide, efficace et précise. Lorsqu’elle
est avec les humains, elle est reconnue pour être excentrique, passionnée, une « femme »
qui aime vivre dans le luxe, qui aime la déchéance et les bas mœurs. Même si
elle a l’air d’une personne chaleureuse, ses sentiments sont cachée au plus
profond d’elle-même.

Histoire :

Origine / Nationalité : Autrichienne

Lieu d'habitation : Grande-Bretagne, France, Amérique du Nord

Style d'habitation : Mirianna aime les condos en hauteur. Elle
aime posséder plusieurs lofts, appartements et condos

Histoire :

Mirianna Sinnindae a été dès la naissance un être spécial. Sa naissance particulière est datée au début du mois de septembre en
l’an de grâce1898, sois la date exacte ou la suzeraine de son pays fut
assassinée. Son pays, c’est l’Autriche, et en cette année de malheur, le pays
entier était en deuil de la magnifique Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach,
mieux connue sous le nom de Sisi, qui rendait son dernier souffle, quelques
heures avant la naissance de Mirianna. Élevée dans un petit domaine tout près
de Vienne, Mirianna a appris dès son plus jeune âge, les étiquettes, les bonnes
manières et toutes autres choses que devait savoir une petite fille en ces
années. Mirianna avait été élevée par une nourrice qui avait veillé sur les 2
sœurs et le frère aîné des Sinnindae. N’en gardant que très peu de souvenirs,
elle se rappelle encore parfois les yeux à demi fermés, l’odeur de la robe de
sa nourrice, alors qu’elle s’endormait, bercée par la voix et la chaleur des chants
français que lui chuchotait « Nounou Fanny ». De tous les membres de sa
famille, Mirianna aimait infiniment sa sœur aînée Mary-Ann. Cinq années les
séparaient, mais les deux Sinnindae jouaient ensemble souvent et se disputaient
que très rarement. Arthur, le frère cadet de la famille, était le dernier de
ses soucis de Mirianna et Claudy était trop différente d’elle pour qu’elles ne
puissent jouer ensemble. Les sœurs inséparables allaient souvent jouer ensemble
dans les champs courant jusqu’à ce qu’elles ne voient plus la maison que comme
un petit point au loin. Elles s’écroulaient alors ensemble de rire, se
laissaient tomber sur le dos, écoutant le vent dans l’herbe. Elles s’étaient
jurées d’être amies pour toujours et que rien ne les séparerait. Elles rentraient
alors heureuses et souriantes au manoir. Les Sinnindae devaient leur petite
fortune grâce au commerce de peintures et de sculptures que dirigeait Edward
Sinnindae Starr. Ce commerce les mènera d’ailleurs à leur exil de l’Autriche.
Quelques années après la naissance de Mirianna, Edward passait plus de temps
avec sa famille qu’avec les gens de son commerce. Suite à quelques transactions
qui ont mal tourné, les Sinnindae durent quitter l’Autriche dans les plus brefs
délais, avant que la vie des jeunes ne soit en danger. Quelques menaces avaient
déjà plané dans les airs, et Miss Sinnindae refusait que sa famille soit
traitée ainsi. Elle lança un ultimatum, soit, ils quittaient tous ensemble
l’Autriche ou Edward Sinnindae resterait seul avec le manoir et ses problèmes.
La raison officielle du départ précipité fut que la mère de Emily Sinnindae
Stratford était souffrante et exigeait de voir ses petits-enfants avant que la
mort ne l’emporte. Mirianna avait alors 3 ans.

Pour les Sinnindae, l’arrivée en Angleterre fut le début
des ennuis. Certes, la mort de « Grand-mère » Béatrice de Montharnais avait
causé du chagrin à Emily, mais l’héritage eut tôt fait de sécher ses larmes.
Elle se mit à délaisser ses enfants pour aller dans toute sorte de soirées
mondaines, daignant quelques fois amener ses filles pour faire bonne
impression. Pour Mary-Ann, le départ de l’Autriche était le malheur de sa vie.
Elle avait laissé derrière un petit ami et la séparation avait été douloureuse.
Elle passait la plus part du temps enfermé dans sa chambre à pleurer ou écrire
des lettres. Mirianna trouvait cela ennuyant, car elle avait perdu à la fois
son amie et son sourire. Claudy, furieuse que sa mère ne l’amène pas avec elle
dans ses activités, se maria quelques mois après leur arrivée à Londres, et
elle ne donna plus de nouvelles. Arthur lui, commença des activités suspectes
et pendant quelques années la tension monta, jusqu’à ce que suite à une dispute
avec son père, il fugue de la maison. À peine 2 mois après sa fugue tragique, son
corps fut retrouvé dans la rivière. Personne ne sut jamais pourquoi il avait
mis fin à sa vie, du moins tous sauf Mirianna. Un jour alors qu’elle jouait au
détective, elle se prit à suivre son frère, qu’elle aperçut quitter le domaine
familial pour aller en ville. Elle le suivit, prenait un plaisir à se cacher
pour ne pas qu’il ne la voie, prenant cela pour un jeu amusant. Arrivée en
ville, elle le suivit jusqu’à une petite maison. Elle le vit entré et
désorientée, elle se demanda quoi faire. Elle voulut rentrer à la maison, mais
elle était perdue. Un homme se pencha devant elle, lui demandant si elle était
perdue. Elle hocha de la tête. L’homme lui demandait où était sa maman. Elle
fit la moue, ce qui fit soupirer l’homme. Il demanda si elle était avec son
père et Mirianna fit non de la tête. Elle pointa la maison disant
d’une voix terrifiée: « My brother is in this house, Sir. I followed him here
and now I am lost…» L’homme prit la main de Mirianna et l’amena devant
la porte. Quelques instants après que trois coups furent frappés, un homme sans
chemise, décoiffer vint ouvrir la porte pour lancer brusquement. «
Who are you? » « I am looking for the brother of this young girl. She seems
lost, and I am sure, it is not good for her to be left alone like this.” Un
regard noir fut lancé à Mirianna alors que l’homme grommelait d’entrer. Il
monta au second étage, après avoir dit à l’étranger et à la fillette de
s’asseoir. Nerveuse, la jeune Mirianna vit son frère cadet descendre en courant
les escaliers quelques instants plus tard. Il cria en allemand qu’elle n’aurait
jamais dû le suivre et qu’elle le paierait très cher. Voyant l’air sceptique
sur le visage de l’homme qui accompagnait sa sœur, il se retourna vers celui-ci
et lui dit en anglais que cela n’était rien et qu’il s’assurerait que sa sœur
ne le suivrait plus de la sorte. L’homme fit une révérence et quitta la maison.
Mirianna eut alors la correction de sa vie. Son frère la frappa deux fois et le
choc la fit décoller. Il lui dit haineusement qu’ils rentreraient dès
l’instant. Elle regardait curieusement son frère embrasser l’homme et détourna
le regard piteusement lorsque son frère la prit par le bras pour la ramener à
la maison.

La solitude était très pesante pour Mirianna. Suite à
plusieurs fugues et plusieurs manœuvres dangereuses pour s’attirer un peu
d’attention, Edward engagea finalement un tuteur pour la benjamine. À 8 ans,
Mirianna eut enfin un tuteur. Nommé Elric Heatherington Fenouillère, il venait
d’une famille anglaise dont la mère avait été mariée de force pour établir la
paix entre les familles Heatherington et Fenouillère. Familles puissantes et
orgueilleuse, chacune ventais comment la beauté et l’intelligence étaient
respectivement reconnue et renommée parmi la haute société. Ces fiertés familiales,
Elric en avait hérité. À peine âgée de 25 ans, il était déjà considéré comme un
surdoué. Elric s’attacha très rapidement à la jeune Mirianna. Étant le petit
fils modèle, il reconnaissait en Mirianna, le reflet de l’enfant naïf et
curieux qu’il fût lors de ses années de jeunesses. Tous deux passèrent beaucoup
de temps ensemble. Mirianna avait toujours cette drôle de sensation quand elle
le voyait arriver. Sans savoir pourquoi, elle adorait lorsqu’il la prenait dans
ses bras, qu’ils passaient du temps seul loin de tout et qu’elle pouvait être
elle-même. De plus, elle ne pouvait chasser de son esprit l’idée qu’elle le
connaissait déjà. Où elle l’avait vu, elle ne pouvait le dire! Elle lui demanda
un jour et il dit en souriant que cette impression était normale, car il
ressemblait physiquement à son frère. Elle ne voulut pourtant pas lui dire
qu’elle l’aimait beaucoup plus que son grand frère. Un jour Mirianna confia à
Mary-Ann ses sentiments envers Elric, mais celle-ci réagit vraiment mal. Sans
comprendre pourquoi, la benjamin des Sinnindae fut jetée hors de la chambre de
sa sœur après s’être fait crié dessus en allemand. Mirianna haïssait lorsque
les membres sa famille parlait allemand, car à sa grande honte, elle avait
oublier sa langue maternelle. Elle le parlait si peu, puisque entre ses leçons
d’Anglais, de Français et d’Espagnole, la pauvre n’avait le temps de parler
Allemand. L’altercation avec sa sœur laissa une blessure profonde dans le cœur
de Mirianna. Son moral fut affecté et
Elric alarmé chercha une solution pour rendre le sourire à sa protégée.
Comme l’anniversaire de ses 10 ans approchait, il lui fit acheter un poney. Il
lui montra comment chevaucher comme une grande dame et ils allaient souvent
faire de longues promenades. Il la taquinait toujours d’ailleurs, qu’étant la «
réincarnation » de Sisi, elle se devait de savoir chevaucher. À ce sujet,
Mirianna avait toujours été farouchement opposée à l’idée d’être une «
réincarnation ». Bien qu’elle comprenne le sens du mot réincarnation, son
raisonnement de petite fille semblait conclure qu’elle n’était pas « Mirianna
», mais une autre « Grande Dame ». Détestant les manières, les bals et les
potins, elle se refusait de croire qu’elle était cette soi-disant « Grande
Dame. Elle adorait Elric à cause de cela. Il ne la voyait pas comme une jolie
poupée qui sait toutes les bonnes manières, mais une jeune aventurière, une
compagne et une amie précieuse. Au cap de ses 12 ans, elle savait lire et
écrire l’Anglais, l’espagnol et le Français. Rarement en toutes ces années, sa
sœur lui adressa la parole. Il semblait à Mirianna qu’elle agissait
curieusement, mais elle passait trop de temps avec Elric pour se rendre compte
à quel point Mary-Ann était jalouse et qu’elle lui causerait tous les plus
grands maux de sa vie.

Une autre année s’écoula ainsi, jusqu’au jour où le drame
éclata. Alors que Mirianna attendait impatiemment la venue de son cher Elric,
son père vint la voir. Edward n’était pas un père modèle depuis leur arrivée en
Angleterre. Il passait son temps à chasser, à courir les jupons, à boire,
jamais il n’avait passé du temps ne serai-ce qu’en famille ou pour parler à ses
enfants, ou à sa femme. Le fait qu’il se soit déplacé pour lui parler mit en
garde la jeune Sinnindae. Il s’assied à côté d’elle sur les marches et lui
demanda brusquement si Elric faisait des choses étranges avec elle, s’il la
touchait à des endroits étranges, s’il lui faisait mal. Mirianna dénia avec
force, demandant avec insistance où était son tuteur. Son père lui dit
froidement qu’elle ne le reverrait plus jamais. Puis il se leva et laissa sa
fille assise seule à pleurer toutes les larmes de son petit corps. One
void se fit entendre: « My dear, why are you crying? » Tournant
vivement pour observer les buissons, elle vit Elric qui lui souriait gentiment,
la tête penchée sur le côté, manie qu’elle adorait. Elle courut se jeter dans
les bras de son ami. ‘They say I am not allowed to see you anymore!” À ce
moment, un cri sortit de nulle part et plusieurs homes encerclèrent le tuteur
et sa protégée. Un homme s’approcha et frappa Elric. Mirianna se précipita en
criant vers celui-ci, lorsqu’un bras puissant l’attrapa par la taille, pour la
jeter comme un sac sur une épaule massive. ‘Forget about that man’ Elle cria,
tendant le bras vers Elric qu’une pluie de coups clouait au sol. Il tourna vers
elle son visage qu’il tentait de protéger avec bras. Mirianna crut le voir
sourire. Elle cria désespérée : « Someone help him for God’s sake!! » Elric
cria : « It will not let you Sera ! » C’est à ce moment que les tables
tournèrent. Elric siffla trois fois et une bande d’adolescents mal famés
arrivèrent de partout lançant des pierres et frappant avec des bouts de bois
tout ce qui bougeait. Avant de s’en être rendu compte, l’homme qui tenait
Mirianna avait été assommé et elle tombait avec lui. Se préparant au choc, elle
ferma les yeux. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, Elric la tenait dans ses bras et
courrait vers la rue. Regardant derrière l’épaule de son sauveur, elle vit que
ceux qui étaient venus les secourir faisaient une diversion, ce qui leur
permettait de s’enfuir. « But they… » Elric tourna dans une ruelle pour mieux
se dissimuler afin de reprendre son souffle. ‘They are
probably safe, right now.’ Mirianna demanda ce qui leur arriverait. ‘Well, they
are going to look after me. They probably are trying to do anything, to catch
me right now and bring you back home.’
Elle le regardait horrifié. « I am not going home! I hate it there,
being a good girl, and go there and here to show my painting, or…’ Elric
mit sa main sur l’épaule pour la rassurer. Il se pencha pour être face à face
avec elle pour lui murmurer. « You should know that there is no
need to worry about that. I would not allow myself to let you return there
again!’ Mirianna souri, et regarda le soleil descendre à
l’horizon. ‘Where are
you living?’ Elric souri, prit la main de Mirianna et l’entraîna vers le
centre-ville ‘Somewhere no body can find us ! » Ils arrivèrent devant
une immense villa. Un serviteur conduisit Mirianna dans une chambre alors que
Elric, allait au salon. On prit grand soin de Mirianna, lui faisant prendre un
grand bain et lui offrant une magnifique chambre. Épuisée, la Sinnindae se
coucha et dormi profondément. Lorsqu’elle
se réveilla, la nuit était tombée. Elle jeta un regard à la pièce observant
pour la première fois ce combien la pièce était luxueuse. La table à maquillage
dans un coin de la pièce attira son attention en particulier. Près de la
fenêtre, le meuble magnifique, avec son grand miroir au contour doré, la brosse
à cheveux posée élégamment à côté de tube à rouge à lèvres, fard à paupières et
divers parfums, semblait briller à cause des reflets de la lumière de la lune.
La curiosité la gagna, elle se leva pour aller admirer de plus près les bijoux
et les bouteilles de parfum. Les portes de la chambre ouvrirent, faisant place
à un homme aux cheveux blonds coiffés en queue de cheval, qui portait une cape
et qui tenait une canne de la main gauche. « Well I
can’t say « Bonjour » to you young girl, but a “goodnight” would be…
appropriate. » Mirianna répliqua d’une voix polie et courtoise, la même
que celle que sa mère lui avait tant dit d’utiliser. ‘Sir, I
return the “goodnight”. May I ask who are you and are am I?’ L’inconnu souri en
tendant sa main vers Mirianna. « I am the man who’s going to bring you back
home. » L’accent semblait familier à Mirianna, mais les propos la
choquaient. « But Elric promise I would not return there! » ‘Ha!’
L’homme frappa le sol de sa canne. « Your parents are searching you everywhere,
why are you being so childish?’ ‘I am not!’ Une ombre apparut. « Je
croyais pouvoir te faire confiance. » Mirianna reconnut la voix, bien qu’elle
n’ait pas compris la phrase en Français. « ELRIC !!
Tell him! I am not going back home! You promise!’ Elric s’avança vers elle. «
You are not, dear. I though I had a friend. But forget about that. We are going
somewhere else!’ Elric entra dans la chambre se dirigeant vers Mirianna. « But
friend! Who say you are going somewhere?’ Un sourire cruel se dessina sur les lèvres
de l’homme. Elric la mâchoire serrée lança: « I am not at your orders! » Un
silence lourd tomba. Mirianna s’avança et prit la main d’Elric. « Are we
leaving soon? It’s creepy around here’ L’homme disparut, et quelques instants
après, Mirianna se sentit levée du sol. Elle atterrit brutalement contre la
penture du lit, et tout vira au noir. Elle saisit pourtant quelques paroles
avant de perde connaissance. « C’est toi ou elle! » « Alors, prends-moi! »

Elle se réveilla dans son lit. Mirianna se redressa, mais
la vitesse du mouvement l’étourdit. Elle ferma les yeux et serra la mâchoire
alors qu’une douleur traversait sa tête. Une main se posa sur sa poitrine et la
força à se coucher. « Everything is going to be fine sister. »
Mirianna ouvrit les yeux refusant de croire ce qu’elle entendant. ‘Am I back
home?’ La voix de Mary-Ann se fit douce et réconfortante. « Yes. This man will never disturb
you anymore. » Mirianna voulait faire mal, très mal à sa soeur. «
What... happened…? Why? He was so kind with me. He was… he HIS the only one
that understand me!’ Les larmes montèrent aux yeux de Mirianna. Sa
poitrine lui faisait mal, et elle se sentait seule devant un gouffre. Mary-Ann
trembla. Elle murmura d’une voix coupable. « I am so sorry… » Mirianna tourna
la tête vers sa sœur. ‘I loved him! But you kept him for
you alone! I was so jealous!’ Mary-Ann se leva et s’asseya sur le
lit. Elle caressa le visage de Mirianna une lueur démoniaque dans les yeux. «
Yes ! But now, you will not have him! If I can’t have him you will certernely
not!’ Elle mit ses mains autour du coup de sa sœur et serra violament. Mirianna
se laissa étrangler. Elle était abattue. L’homme qu’elle aimait avait brisé sa
promesse et sa sœur chérie la détestait. Elle ferma les yeux acceptant la mort.
Une main apparut et tira Mary-Ann par les cheveux. Mirianna reprit son souffle,
vrit ses yeux et vit son père traîner sa sœur hors de la chambre par les
cheveux. Il la jeta hors de la chambre, fermant la porte au nez de sa fille qui
criait des insultes. Edward sans regarder sa fille benjamine dit
froidement : « If he show himself again here, I will kill him personally. » Il
ouvrit la porte, frappa Mary-Ann lui ordonnant de se taire. Il claqua la porte,
étouffant les gémissements de Mary-Ann. Mirianna restait au lit des mois, et
graduellement elle se leva, marcha à nouveau, mais elle refusa de quitter sa
chambre. Ce fut son cheval qui lui redonna le goût à la vie. Un jour alors
qu’elle regardait par la fenêtre, elle vit son cheval courir dans le champ. Une
envie soudaine de faire de l’équitation lui prit. Elle revêtit son uniforme et
courut dehors. Les domestiques du manoir la regardèrent passer un sourire aux
lèvres. La jeune Mirianna semblait avoir retrouvé un peu de son éclat habituel.

Bien qu’elle avait retrouvé sa joie, une lueur de
mélancolie était perceptible dans ses yeux. Mirianna se remit à la peinture,
façon pour elle de se rappeler Elric et d’exprimer ses sentiments profonds.
Plusieurs années passèrent ainsi. À 16 ans, Mirianna eut enfin des nouvelles de
sa sœur cadette Claudy. Son époux et
elle-même avaient péri dans le voyage qui les mènerait en Amérique. Passager à
bord du Tinanic, l’Atlantic fut leur tombe. Cette nouvelle laissa dans
l’indifférence Mirianna qui n’avait jamais vraiment aimée sa soeur. Sa vie
reprit son cours normal, jusqu’à ce que les rumeurs de guerre commencent à se
répandre. Lorsque Mirianna atteint seize ans, l’Autriche-Hongrie déclara la
guerre. La panique fut prise chez les Sinnindae. Emily continuait de potiner et
de sortir, mais ne portait que son nom de jeune fille. Edward lui portait son
nom anglais. Mirianna continuait de se promener à cheval et écoutait dans les
soirées l’air intéresser les dernières nouvelles à propos de la guerre. Lorsque
la guerre éclatait officiellement entre l’Allemagne et la Grande-Bretagne, les
choses commencent à débouler. L’inquiétude plana. Lorsque les raids aériens
commencèrent, les Sinnindae se
réfugièrent chez des amis d’Emily Stratford. Edward Starr fut enrôlé au début
de l’année 1915. En janvier, il est tué lors des raids des Zeppelins allemands.
Comme à la mort de sa sœur, Mirianna n’eut pas un deuil très grand suite à la
mort de son père. Elle n’avait toujours pas entendu parler d’Elric et cela lui
déchirait le cœur. Ses peintures restèrent son seul accrochage à la vie. Une
soirée alors qu’elle peinturait sur la véranda, elle sentit une présence
derrière elle. Lorsqu’elle scruta l’obscurité, elle supposa qu’un animal se
cachait là. Un an passa ainsi alors que la guerre faisait rage et que cette
étrange sensation d’être suivie la hantait. Tous craignaient d’autres raids
aériens. Ils arrivèrent par malheur,
bien plutôt que n’avaient rêvé les Britanniques. La nuit du 23 octobre,
Mirianna fut réveillée par une explosion. Des cris retentirent autour d’elle.
Elle se leva et courut à sa fenêtre. C’est alors qu’elle vit des feux à
quelques maisons de la résidence où elle se cachait. Ses yeux se levèrent vers
le ciel et elle aperçut alors un Zeppelin. Terrorisée, elle fit demi-tour et
c’est alors qu’une autre explosion se fit tout près d’elle. Un bruit de verre
s’en suivit, puis une terrible douleur se fit ressentir dans son dos. Elle ne
voyait rien et elle se sentait incapable de bouger. Ses oreilles cillaient.
Mirianna ne pouvait que pleurer. Elle savait qu’elle allait mourir. Elle le
sentait. Tout devint noir alors que ses pensées s’envolèrent vers l’homme
qu’elle aimait. « You…said you would not let me…’

Mirianna se
sentit reprendre conscience. Elle ne voulait toutefois pas ouvrir
les yeux. La douleur dans son dos était
intense. Une douce voix se fit entendre à sa droite. « Do not
move. It is really dangerous for you…’ Mirianna versa une larme. ‘I knew
you would save me…’ L’homme à qui appartenait la voix s’assit sur le lit. ‘I
am not saving you. I am ashamed of what I am going to do but it is the only way
to save you…’ ‘Am I going to be with you Elric?’ Mirianna se sentait faiblir. « Yes…
Forever… » Mirianna ouvrit les yeux et crut voir Elric se pencher parmi ses
larmes. Elle sentit une douleur à son cou, mais ce n’était rien comparé à celle
de son dos. Elle ferma les yeux s’abandonnant à Elric. Alors qu’elle se sentait
dériver un liquide chaud lui coula dans la bouche. « Drink my dear. And we will
be together forever…’ Mirianna ouvrit les yeux et vit un poignet qui saignait.
Elle comprit que le liquide était son sang. « Hurry up ! » Sans réfléchir, elle
se jeta sur poignet et aspira le plus de sang qu’elle pût. Le poignet fût
retiré avec un gémissement. Confuse Mirianna regardit autour d’elle. Le vampire
se leva, alors qu’une douleur s’emparait de Mirianna. Lorsqu’elle rouvrit les
yeux, Elric qui avait fait le tour du lit s’avança vers elle montrant enfin son
visage. Il posa sa main sur l’épaule du nouveau vampire. « Do not fear. I will
be with you.’ Mirianna mit ses bras autour de la taille d’Elric et le serra. «
What did you do to me? » ‘You are now a child of the night. Like me,
you are now transform as a vampire.’ Mirianna avait entendu parler via les
légendes des vampires. « So I will have to drink blood? »
‘You must, or you shall perish.’ Il lui tendit la main et tous deux
sortirent. Regardant autour d’elle Mirianna reconnut l’endroit où elle avait
dormie lorsque Elric l’avait emmenée avec lui plusieurs années auparavant. «
What happened to you? Why you did not come see me all theses years?’ Elric soupira. ‘I was horrified of what
happened. I though you might be scared of me.’ Il s’avança
jusqu’à la balustrade et posa sa main sur la pierre froide. « I was waiting for
you… all this time. » Elric tendit la main l’invitant à venir le rejoindra sur
la terrasse. Mirianna s’approcha. ‘I watched you. Each night, I
went and looked at you. I was so upset. One night you were painting and there I
tough I might appear to you. But at the last second I changed my mind.’ ‘I
wanted to see you so badly.’ Mirianna versa une larme. « My heart was broken. I
tough you hated me…’ Elric la prit dans ses bras. ‘Why not leave this awful
place?’ ‘Where can we go?’ ‘America!’ Mirianna se tourna et vit
l’homme aux cheveux blond, le même allure, inchangée malgré les années qui
avait passé. Sa canne frappa doucement le sol et il lança joyeusement. «
Or why not France ?
» Mirianna comprit. ‘That is it! Your accent! You are French!’ L’homme fit une
révérence. Elric lança : « The war is worst in France. America
is safer.’ Mirianna se tourna vers Elric. « But who care about the war? Are we
not immortals? Why fear the bullets or the bombs?’ ‘She got a point mon cher!’
Elric soupira. ‘Fine. France
it is.” La vampire demanda à l’homme blond opliment: « May I ask who you are?’ L’homme souriant dit d’une voix
amusée : ‘Vampire Léonard François de Neuville à votre
service Mademoiselle. » Mirianna sourira et dit de sa voix raffinée : « Mirianna Elizabeth Sinnindae Stratford »
Elric souria. « I did not know you have the name Elizabeth!
» Mirianna lui fit la grimace. ‘Why not?’ Elric souriant expliqua à
Léonard que Mirianna était née la date exacte ou l’impératrice Sisi est morte.
« Is that so? Interesting!’

La France étais dans un chaos total. Le trio de vampire
se nourrissait de blessés qui allaient mourir tôt ou tard, progressant vers
Paris. Leur vie dans la ville Lumière, fut discrète et très lugubre. Au bout de
quelques mois, Elric qui n’en pouvait plus demanda à Mirianna si elle n’aimerait
pas mieux aller ailleurs. C’est ainsi qu’ils quittèrent Paris pour aller à
Lyon. Quelques jours après leur arrivée à Lyon, Mirianna chassait dans les rues
pour calmer sa soif. C’est cette nuit-là qu’elle fit une renconter qui changea
son destin. Alors qu’elle finissait sa victime, un vampire s’avança vers elle,
subjugué par sa beauté. Elric arrivant de nulle part se mit entre elle et le
nouvel arrivé. « Qui es-tu? » Mirianna jetait des regards curieux vers l’ombre
dans l’espoir d’y apercevoir le visage de l’inconnu. Troublé par la présence
d’Elric celui-ci demi-tour et s’enfuit. Elric, cette nuit-là, resserra sa
surveillance autour de Mirianna. Et il en fut ainsi pour un long moment. Puis
les années passèrent, Mirianna vivait toujours avec Léonard et Elric. Elle les
quittait parfois pour aller par elle-même voyager à travers l’Europe, mais soit
Léonard, soit Elric la suivait pour la protéger. En 1919, l’inconnu refit
surface. La guerre humaine avait cessé, et l’atmosphère avait enfin cessé de
sentir la poussière et la décomposition. Elric voyait une fille en cachette
depuis quelque mois, il avait donc cessé de surveiller Mirianna. Léonard lui ne
l’avait suivi que pour faire plaisir à Elric, mais comme elle était presque
plus dans sa vie, Léonard se détachait de Mirianna. Alors qu’elle marchait dans
une ruelle, elle sentit qu’elle était suivie. Elle s’arrêtât se retourna et
lança d’une voix sûr : « Qui êtes-vous? » Un homme de bel apparence
s’avança dans la faible lumière du réverbère. « Un admirateur. » Elle pencha la
tête interrogative. Un rire nerveux s’échappa des lèvres de l’homme. « Pardon.
Je me présente Benoît Nataniel Laforêt. » Mirianna s’avança vers moi. «
Pourquoi voulez-vous être à mes côtés? » Dans un élan de ferveur il lui pris
les mains et dit d’une voix sincère. « Votre beauté m’a estomaqué. Je veux
votre compagnie, vos rires vos sourires! » Gêné, il laissais aller ses mains et
fis demi-tour. « Pardonnez mon emportement. » Mirianna prit la main de Benoît.
Celui-ci regardais derrière son épaule et vit une larme couler le long de sa
joue. « Je vous en pris ne pleurez pas! » « Il en voit une autre n'est-ce pas?
» Le vampire ne sus quoi dire. Elle le supplia de quitter la France avec lui.
Elle ne voulait plus jamais revoir Elric. C’est ainsi que nous quittâmes la
France pour voyager à travers l’Europe. Les vampires allèrent visiter
l’Allemagne, l’Italie, l’Irlande, la Bulgarie, voyageant au gré des fantaisies
de Mirianna. En 1945 quand la guerre fut déclarée en Europe, Mirianna décida
d’aller Amérique. New York fut la première destination du couple. C’est aussi
en ces années que Mirianna tomba dans une folie. Elle semblait délirer et
Benoît ne pouvait rien faire. Un jour alors qu’il revenait de se nourrir il la
retrouvait à genoux sur le plancher saignant de la bouche. Elle riait, secouée
par son rire démoniaque. « Qu’as-tu fais ? » Elle regarda son compagnon
avec un sourire dément ‘Je me suis arraché la canine!! Comme Van Gog s’est
coupé l’oreille.’ D’autres crises lui firent faire d’autres bizarreries. Alors
que Benoît lisait le journal dans leur appartement, il entendit Mirianna
pousser un cri. Il courut à la cuisine
et il la vit brûler le doigt. Lorsque qu’il arracha le tison, elle lui montra
son index. « J’ai gravé une note de musique! » Désespéré, Benoît la ramena en
France. Léonard l’examina et trouva cela étrange. Il décida de la garder avec
lui jusqu’à ce ses crises cessent. Mirianna resta séparé de Benoît pendant un
an. Elle peinturait dès le coucher du soleil jusqu’à l’aube, obsédée, et ne
cessait que pour aller chasser. Léonard dit que Mirianna redevint elle-même
lorsque Elric revint pour elle. Il lui dit qu’il regrettait de l’avoir trompé.
Il n’aimait qu’elle, et que plus jamais il ne la quittera. Benoît fut donc
effacé de la vie de Mirianna. Elric avait opéré des miracles sur elle. Elle
était beaucoup plus calme, et sa folie semblait enfuie et oubliée. Elle quitta
finalement Elric 10 ans après son retour avec lu. Une violente dispute les
déchira, et la vampire se jura de ne plus jamais laisser ses sentiments prendre
le dessus. Elle quitta pour l’Amérique et retourna à New York où elle vit une
vie de débauche et de luxe.

[*]Famille : Edward Sinnindae Starr est un britannique, qui a déménager
en Autriche suite à l’arrangement de son mariage par ses parents avec la
ravissante Emily Montharnais Stratford. Ce beau couple eurent 4
enfants : Arthur, Mary-Ann, Claudy
et Mirianna. Du côté de Edward Sinnindae Starr, il s’agit de nombreux bourgeois
Français et des marins Anglais qui constituent l’arbre généalogique. Du côté de
Emily Montharnais Stratford, l’influence Français est très présente. Pourtant
la mère de celle-ci est Autrichienne et la lignée est pur sang autrichien. Le
père d’Emily a habité en France avec son épouse puis y est resté avec sa
maîtresse alors que la mère et le bébé l’ont quitté pour retourner en Autriche
avec la famille. C’est donc ce sang mélangée qui a donnée à Mirianna son nom
aux multiples origines.
[/list]
Vie de votre personnage désormais: Venant de quitter la France,
Mirianna est fort influencer par le style de vie Français, l’art l’intéresse
énormément. Elle suit la mode, lis beaucoup, elle aime les longues promenades
la nuit sur le bord des cours d’eau. La population sans cesse active de New York
la fascine, le vice l’attire et l’opulence est un besoin.

Métier: Elle se fait passer pour une styliste Française
Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Mirianna vit l’instant
présent. Tant qu’il y a du luxe, de beaux hommes et de belles femmes, la
vampire sera satisfaite.

Question subsidiaire :

Comment avez-vous découvert ce forum ? Top forum

Hello, bienvenue !!! Ton histoire est très complète, simpathique à lire =)
Bah comme tu l'as vu, pour l'instant le forum n'avance pas et nous ne savons pas vraiment quoi faire ! Mais j'espère que tu resteras pour nous aide aussi ;)

J'espère oui!! Faisait un bout que je cherchais un bon forum de rp et celui-ci a l'air tellement cool!!