Desperate Infinity
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Desperate Infinity

L'année 2022.Le chaos règne sur New-York.Il n'y a plus de frontière entre le bien et le mal,la magie ainsi que la réalité.Comment pourra-t'on survivre?
 
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 A.K. - U n d e r Construction.

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AuteurMessage
Alison Klein

Alison Klein


Féminin
Nombre de messages : 4
Âge du Personnage : 25 ans.
Date d'inscription : 08/04/2007

Feuille de personnage
Point de Vie:
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MessageSujet: A.K. - U n d e r Construction.   A.K.        -   U n d e r   Construction. Icon_minitimeLun 9 Avr - 16:42

A.K.        -   U n d e r   Construction. Alison15




Identité :

  • Prénom(a) & Nom : Alison Ella Kate Klein. Dites « Hell » auprès de ses proches.
  • Date de naissance et Âge: 7 Juillet 1997.
  • Sexe : F.
  • Race et groupe : Humaine et Chef du groupe des Combattants.

Physique : Alison est ce qu’on peut tout simplement appeler une jolie nana. Elle n’a pas une beauté prête à faire jalouser la moindre mannequin pour une marque de prestige, ni même le charisme suffisant pour que Karl Lagerfeld lui saute au cou avec un contrat en poche mais tout se qu’on peu dire, c’est qu’on la remarque. On à envie de la regarder parce qu’Alison possède quelque chose que toutes les autres filles n’ont pas : un côté tragique qui fait sa particularité. Quand son regard se pose sur vous, en général votre sang se refroidi, vous ne savez pas vraiment où vous mettre puisque la sensation glaciale qui vous parcourt le corps viens tout droit des yeux de la jeune femme. Pourtant vous la trouvez banale, physiquement, mais une personne capable de vous transmettre autant de sentiments en un coup d’œil n’est-ce pas fantastique ? Ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules, soulignant sa peau assez pâle, presque laiteuse mais qu’elle prend bien soin de faire bronzé quand l’été pointe son nez. Niveau corps, c’est assez banal, Alison n’a pas de poitrine et est assez grande.

Caractère : (Minimum de 5 lignes requis)

Histoire :

  • Origine / Nationalité : Américaine et d’origine Française.
  • Lieu d'habitation :

    • Style d'habitation : Alison n’est presque jamais au même endroit, elle dort le plus souvent dans des hôtels de luxe.

  • Histoire :

    Hell – « Ce qui me fait le plus rire, c’est quant on me demande quel métier je fais. Un large sourire se dessine toujours sur mon visage, les gens ne comprennent jamais. Je suis toujours habillée d’ensembles Chanel, Dior, Dolce & Gabbana, Armani, Burberry et j’en passe, je change tous les jours de montre et de coiffure. Et quand je rencontre d’autres personnes et qu’on parle de travail je leur réponds tout simplement : Je fais le ménage.
    C’est bizarre personne ne me croit, pourtant c’est la vérité. »




    SATURDAY NIGHT.




    Hell – « Bienvenue dans ma ville.
    Hey, viens par là toi, ça te dit de voir New York comme tu l’as jamais vu ? Ouais toi, j’aime bien ta gueule. T’es un touriste non ? T’as une gueule de Français. Comment tu trouves ma limousine ? Classe non ? Aller boit un verre de Champagne. Je m’appelle Alison Klein et j’ai toujours vécu a N.Y, ce soir je m’emmerde, ça te dis d’écouter ma vie pour 500 dollars ? 1000 ? Ok. »

    Vous ne comprenez pas tellement ce qui vous arrive, vous vous baladiez tranquillement dans les rues de New York le soir et une femme avec un visage de gamine vient de vous monter de force dans sa limousine noire. Elle vient de vous offrir un verre de champagne et elle ne vous a même pas laissé le temps de dire quoi que ce soit. D’ailleurs, vous ne pourrez pas aligner un mot avant la fin. Alison vous tend une liasse de billet énorme. Vous restez. L’argent c’est assez convainquant non ? La jeune femme se grille une cigarette.

    Hell – « On m’appelle Hell tu sais ? Enfer. Ah ah ! Drôle non ? Enfin ce sont seulement mes proches qui on droit de m’appeler ainsi, mais je te permet, je t’aime bien. Ce soir j’ai besoin de faire un point sur ma vie, d’essayer d’éclaircir comment j’ai pu en arriver là et tu m’as l’air de quelqu’un d’idéal. Tout à commencer à cause de mon père, un grand homme d’affaire, un truc de ouf you see ? À l’époque où moi je tripais sur du Justin Timberlake, lui il faisait son commerce de cocaïne derrière le dos de ma mère et moi. Enfin, ma mère s’est cassée avec je ne sais quel joueur de foot et m’a laissé en plan avec mon vieux. On habitait un truc de 500m carré à Long Island pour deux personnes. Ça craint non ? Un jour mon père est parti en prison pour ses histoires de deals et j’ai été émancipé a 16 ans. Je ne suis jamais allée a l’école et je n’avais jamais eu d’amis. La seule chose qui me permettait de vivre c’était le compte en banque de mon patriarche, oh… Et de ma mère aussi, enfin je t’explique, a 16 ans j’avais déjà de quoi nourrir les gosses de mes gosses. Tout est allé très vite à partir de ce moment-là. J’ai fait des découvertes : boîte de nuit, fringues de luxes, cigarettes, cocaïne, sexe. Mauvais programme paraît-il. J’avais ma propre suite au Jolly Hotel. Je me suis fait des pseudos amis sur qui je ne pouvais pas compter. Ah ah… Ce qu’il voyait en moi c’était la tonne de biftons que je possédais. Et je me suis lassée de tout ça, de toutes ces conneries, de toutes ces apparences. Je m’emmerdais enfaîte, j’avais ce que je voulais en claquant des doigts. J’ai tourné des pubs, pour un déodorant, un savon, un fanta à la con, un rasoir à deux balles. Ouais. Monde de cons, D’ailleurs, je déteste ces publicités qui se mettent en quatre pour nous donner envie d'acheter un produit à la con dont on n'a même pas besoin, qui te tutoient pour te vendre du Fanta citron, qui te tutoient si t'es un jeune, parce que les jeunes sont cools et arriérés et qu'il faut les tutoyer sinon ils ne comprennent pas ce qu'on leur dit, et la voix off de minette en chaleur des pubs pour le déodorant, le rouge à lèvres et les crèmes dépilatoires, parce que toutes les filles entre quinze et vingt ans sont de toute façon des minettes en chaleur, hystériques et obsédées par la tenue de leur déodorant et nageront dans la joie en apprenant qu'on fabrique maintenant des crèmes dépilatoires en spray qui font effet en trois minutes sans irritation, c'est-à-dire juste le temps que le jeune qu'elles ont ramené d'une quelconque 'teuf' se tape un Fanta citron et le début d'une queue pendant qu'elles se désherberont les jambes et la chatte au spray enfermées dans la salle de bain, et pourront donc passer immédiatement à l'action dès qu'elles en sortiront, imberbes et donc baisables, et leur filer un orgasme de coups de boutoir mal assenés, mais pas de ces vilaines maladies vénériennes qui décimaient les prostituées autrefois, mais qui ne vous décimeront pas, toi et tes pareilles, les jeunes minettes en chaleur, grâce aux préservatifs machin, les préservatifs machin : tape-toi la terre entière, suce des queues, pratique le triolisme et la sodomie en plein air, sur des parkings par exemple, puisqu'il n'y a que ça qui t'intéresse. Les préservatifs machin : plus rien ne t'empêche d'être une salope. Désolée d’avoir été si vulgaire pendant un moment. En gros, je t’explique que j’ai tout lâché, d’un jour à l’autre. Toutes les putains et les soi disant beaux mecs qui squouaté ma suite se sont retrouvés à la rue en deux claquements de doigts. J’en pouvais plus. J’avais 18 ans. Et là, ce sont les problèmes qui ont pointer leur nez. On m’a accusé d’être une pute droguée et même d’aider des macs à dénicher leurs pétasses. J’ai eu des ennuis avec la drogue tout ça… Et j’étais mal vue. Alors j’ai décider de m’intéressé au monde, à ce qu’il se passé derrière la porte du Jolly Hotel et en pleine journée – Oui, parce que le soir je vivais et le jour je dormais – et j’ai vu les choses de mes propres yeux. Je regardais les gens avec admiration et je me suis peu à peu rendue compte que l’humanité souffrait. Que le monde était une vaste plaine après un carnage, jonchée d'agonisants qui râlent et qui se tordent. - Toujours maintenant d’ailleurs - Les hommes, 'les gens' déambulent, anonymes, et dissimulent une plaie béante sous leurs airs impassibles.?Le bonheur... L'homme n'en entrevoit que des apparences, celles qu'essaie de lui donner le voisin. Mais n'enragez pas du bonheur du voisin. Il est pédophile, héroïnomane et schizophrène. Et par-dessus tout, il enrage de l'image d'harmonie absolue que vous et votre famille lui offrez en permanence. Il ignore que votre femme vous bat et que vos enfants ne sont pas de vous. Ah ah… Ouais. Je pense que j’avais l’air conne habillée super classe avec un signe Chanel brillant sur ma ceinture à six heures du mat’. Toutes les gamines de 15 ans me regarder en bavant, elles voulaient toutes être à ma place tout simplement parce que j’avais l’air d’une starlette. Une fille est même venue me demander un autographe un jour en me disant « J’adore ce que vous faite. » j’ai rigolé et j’ai signé un autographe au nom de « Kate Moss. » Je me demande bien si cette gamine savait que cette mannequin avait presque soixante pijes. »

    Alison s’arrête brutalement, elle regarde par la fenêtre. Vous constatez que la limousine passe à côté du Madison Square Garden. C’est la déchéance de ce côté de la ville, vous regardez la visage d’Hell, elle est comme figée.

    Hell – « Puis il y’a eu Andrea. Ce fut un peu comme le nouveau départ de ma vie. Un autre chapitre, le plus long et surtout le dernier. Je ne voulais pas passer à autre chose avec lui. Ah… Je l’ai rencontré il y’a trois ans à l’une des rares soirées que je voulais passer en la compagnie de mes anciens « amis ». Il était là, et il avait le même regard de dégoût que moi. Il me plaisait. Il me plaisait à plus en pouvoir. Ses yeux semblaient perdus dans son verre de vodka, il s’emmerdait. Alors je l’ai pris par la main. Je crois qu’il n’a pas vraiment compris, qu’il s’en foutait en faite, effectivement avec son physique des tonnes de filles avaient sans doute déjà user de tout les moyens possibles pour le rendre fou d’amour. Sans succès. Là, il n’a rien dit, il m’a juste regarder, longuement.
    On ne s’est plus jamais quitté. J’ai compris le bien que ça faisait de dire « Je t’aime ». Ah… Vivre d’amour, d’evian et de Marlboro Light. Nous sommes une âme dans deux corps différents et quand ceux-ci s’unissent nous ne formons plus qu’un. Mon Andrea… Vous savez, le monde est divisé en deux, il y a vous et puis il y a nous. C'est sibyllin, je vous l'accorde... Je m'explique. Vous avez une famille, un job, une voiture, un appartement que vous n'avez pas fini de payer. Embouteillages, boulot, dodo, tel est votre lot si vous avez de la chance. Métro, ANPE, insomnie car problèmes d'argent pour les moins bien lotis. Votre avenir se résume à la répétition de votre présent.
    Je ne voulais pas vivre chaque jour un éternel recommencement… Je suis une femme qui a besoin de surprises, de nouveau. Je ne veux jamais sentir la même odeur le matin quand je me lève, je ne voulais jamais me réveiller dans le même lit. Je veux vivre a 100 à l’heure, toi tu vis au rythme d’une Twingo a la con et moi je suis au volant d’une Ferrari sans permis de conduire : en gros, je vis à n’en plus pouvoir en risquant ma vie. Oui, parce que tu ne connais pas mon métier. Je suis toujours habillée d’ensembles Chanel, Dior, Dolce & Gabbana, Armani, Burberry et j’en passe, je change tous les jours de montre et de coiffure. Et quand je rencontre d’autres personnes et qu’on parle de travail je leur réponds tout simplement : Je fais le ménage.?C’est bizarre personne ne me croit, pourtant c’est la vérité. Oui, je fais le ménage. Je flingue. »

    Un long silence se fait, Mademoiselle Klein saisit un CD, vous n’avez pas eu le temps de lire de quel artiste il s’agissait que déjà la jeune femme l’introduit dans la chaîne. Une musique commence, vous reconnaissez la chanson « Bang Bang » de Nancy Sinatra.

    « I was five and he was six
    We rode on horses made of sticks
    He wore black and I wore white
    He would always win the fight »


    Hell – « Mon métier c’est un peu comme ma vie. Je ne vais pas te mentir, j’aime buter des gens. J’ai pris goût aux armes quant une amie à moi m’a fait essayer le vieux flingue à son père sur des mannequins dans son garage. J’ai trouvé cela follement excitant et j’ai décidé de continuer. Et j’ai une sorte de don pour manier les armes. Ah ah… Je suis une grande tireuse tu sais.

    « Bang bang, he shot me down
    Bang bang, I hit the ground
    Bang bang, that awful sound
    Bang bang, my baby shot me down »


    La guerre à New York à peu à peu débuter… Je ne voulais pas rester sans rien faire. Alors j’ai monté une sorte de petit groupe d’genre un peu comme « Fight Club » - Ouais, ouais, avec Brad Pitt ! Vieux ce film tu sais – et on s’est mis à protéger la ville à notre façon en butant toutes ces bestioles bizarres.

    « Seasons came and changed the time
    When I grew up, I called him mine
    He would always laugh and say
    "Remember when we used to play?" »


    Je pète dans la soie. Le gouvernement à remarquer que notre groupe comptait beaucoup de membres et surtout, avez beaucoup de puissance et beaucoup d’argent. C’est pourquoi il nous a engagé pour combattre ceux qui nuisaient à l’état. On est maintenant des cibles prioritaires pour les vampires, démons et j’en passe. L’humanité souffre.

    « "Bang bang, I shot you down"
    "Bang bang, you hit the ground"
    "Bang bang, that awful sound"
    "Bang bang, I used to shoot you down" »


    Le gouvernement à besoin de moi et de mes hommes. Je suis intouchable, je peux faire TOUT se que je veux, personne ne me dira rien. J’ai tué des gens innocents, pour le plaisir, parce que je pouvais me le permettre. J’ai dépensé du fric qui aurait pu nourrir l’Afrique entière. Je consomme de la cocaïne et je traite les gens comme une salope. Sauf Andrea…

    « Music played and people sang
    Just for me the church bells rang

    Now he's gone, I don't know why
    And till this day, sometimes I cry
    He didn't even say "goodbye"
    He didn't take the time to lie »


    Et toi… Toi enfaîte tu me fais chier. Tu sais que si je te bute je vais pas en tole ? Tu le sais ça ? Je vais te le prouver.

    « Bang bang, he shot me down
    Bang bang, I hit the ground
    Bang bang, that awful sound...




    Bang.



    … my baby shot me down. »



  • Famille : Votre texte (5 lignes complètes minimum)

Vie de votre personnage désormais:

  • Situation Familiale: En couple (Andrea G. Marchal).
  • Métier:
  • Ses rêves et ambitions pour l’avenir : Votre texte

Question subsidiaire :

  • Comment avez-vous découvert ce forum ? ‘Suis une VIP, les proprios c’est mon jumeau et ma belle sœur. Na =P.
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